Je crois qu'il me fallait un évènement pour comprendre véritablement ce que représentait Mustafa Kemal, dit Atatürk pour la Turquie. La cérémonie tenue au Palais de Dolmabahçe, où il décéda soixante-dix ans plus tôt, allait être cet évènement.
A 9h05 précises, l'heure de la mort du leader turc le 10 novembre 1938, la vie s'arrête à Istanbul pour laisser place aux sirènes et à deux minutes de silence...A la suite de la cérémonie, les personnes présentes ont pu aller se recueillir à l'intérieur du fabuleux palais stambouliote d'Atatürk. C'est ici que je comprends la portée de ce personnage pour les turcs, écoliers, jeunes adultes ou personnes âgés...La majorité des visiteurs ressort de la chambre de Kemal les yeux humides ou pleurent à chaudes larmes...Même le garde républicain est en larmes...Ambiance très spéciale où la différence entre les générations n'existe même plus, tous les turcs semblent dans la même émotion, en recueillement autour de celui qu'ils considèrent comme le "Père de la Nation turque".
Mine de rien, on ne ressort pas comme ça d'une telle matinée, on est un peu perturbés pour être franc. C'est comme si on assistait à un enterrement dans une grande famille dont on ne fait pas parti et qui vient de perdre l'un des siens...or tous ces gens ne se connaissent pas ! Avec Cécile, on a écrit un article pour Mediapart sur cette cérémonie, l'adresse : http://www.mediapart.fr/club/edition/istanbul-not-constantinople. Une petite vidéo des ambiances lors de la cérémonie...
A 9h05 précises, l'heure de la mort du leader turc le 10 novembre 1938, la vie s'arrête à Istanbul pour laisser place aux sirènes et à deux minutes de silence...A la suite de la cérémonie, les personnes présentes ont pu aller se recueillir à l'intérieur du fabuleux palais stambouliote d'Atatürk. C'est ici que je comprends la portée de ce personnage pour les turcs, écoliers, jeunes adultes ou personnes âgés...La majorité des visiteurs ressort de la chambre de Kemal les yeux humides ou pleurent à chaudes larmes...Même le garde républicain est en larmes...Ambiance très spéciale où la différence entre les générations n'existe même plus, tous les turcs semblent dans la même émotion, en recueillement autour de celui qu'ils considèrent comme le "Père de la Nation turque".
Mine de rien, on ne ressort pas comme ça d'une telle matinée, on est un peu perturbés pour être franc. C'est comme si on assistait à un enterrement dans une grande famille dont on ne fait pas parti et qui vient de perdre l'un des siens...or tous ces gens ne se connaissent pas ! Avec Cécile, on a écrit un article pour Mediapart sur cette cérémonie, l'adresse : http://www.mediapart.fr/club/edition/istanbul-not-constantinople. Une petite vidéo des ambiances lors de la cérémonie...
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